C’est de la responsabilité politique de donner les conditions du vivre ensemble
Il me semblait important de réagir à l’article intitulé “des contredanses” pour les danseurs du Carré d’Art paru dans le Midi Libre 22 avril.
Lors de notre dernière rencontre « dessinons notre avenir » du 2 mars nous avions pu échanger longuement avec Samir Achaabany. I avec plusieurs animateurs et responsables d’associationsa situation au Carré d’Art avait été évoquée comme une illustration du double discours politique dans ce qu’on nomme le « vivre ensemble ».
Le manque de structure au sein des quartiers les jeunes à pour pouvoir pratiquer leur activité.
les premières cibles quand il est question de plan d’économie et je suis particulièrement inquiet d choix actuels. Si les co persistent dans la baisse de subventions aux associations, les conséquences seront importantes la vie d nos quartiers mais emploi
a situation au Carré d’Art révèle un autre aspect. Les jeunes qui viennent pratiquer le hip hop dans le centre délivrent un message. Ils témoignent que la ville de Nîmes ne peut être vécue comme une superposition de quartiers et que nous avons besoin de passerelles entre tou ses ensembles. Le risque nous le connaissons, c’est celui de la ghettoïsation attestent que ces échanges peuvent se de façon positive en s’appuyant sur l.
J présence puisse déranger, restentdans le quartiers.
C’est donc au pouvoir politique et à l’institution locale de jouer rôle de médiateur. Cerbaliser ces jeunes est . La médiation doit uprès des personnes réfractaires à la présence des jeunes. Je compte sur nos élus de la ville de Nîmes pour engager ce travail d’éducation et de sensibilisation au bien vivre ensemble. Je les incite à utiliser le verbe plutôt que de persister dans la « verbalisation»