Revue de presse – Christophe Cavard et les écologistes interpellent Manuel Valls

Christophe Cavard, rejoint par ses collègues écologistes, élus et membres du parti EELV ont interpellé le Premier ministre, Manuel Valls, sur l’opportunité, de financer la réalisation de deux gares TGV (l’une à Lattes et l’autre à Manduel), dans la même région, alors que le chef du gouvernement se rendait le lendemain à Montpellier. Lire par ailleurs le courrier du 21 décembre, co-signé par Jean-Louis Roumégas, Député EELV de l’Hérault Christian Dupraz, Conseiller Général EELV de l’Hérault, Vice-Président de Hérault Transport, Dirk Offringa, Secrétaire Régional EELV Languedoc-Roussillon, Nicolas Dubourg, membre de la direction nationale d’EELV, Manu Reynaud, ancien secrétaire régional d’EELV.

Articles publiés par Midi libre le 22 décembre 2014

Midi Libre I 221214

 

Midi Libre II 221214

 

Article publié sur le site Internet France 3 Languedoc-Roussillon le 21 décembre 2014

Art France 3 - AFP I 211214

« Manuel Valls doit signer ce lundi à Montpellier le contrat de plan Etat-région 2015-2020, qui porte notamment sur la financement de nouvelles infrastructures en Languedoc-Roussillon, dont la création de deux nouvelles gares TGV à Lattes, près de Montpellier, et à Manduel, près de Nîmes, sur la nouvelle ligne à grande vitesse entre les deux villes, rappellent dans leur lettre ouverte les membres d’EELV, dont les députés du Gard Christophe Cavard et de l’Hérault Jean-Louis Roumégas.

Si la gare de Manduel sera connectée au réseau TER, et donc accessible depuis la gare centrale de Nîmes,  ce n’est pas le cas de celle de Lattes, qui doit en outre être construite en zone inondable, poursuivent-ils. « Si, en tant qu’écologistes, nous défendons à vos côtés la nécessité d’investir en faveur d’une modernisation du réseau ferroviaire français, nous ne pouvons pas cautionner les dérives financières et les errements auxquels nous conduisent les promoteurs du dogme de la grande vitesse« , écrivent encore les signataires du courrier.

En l’absence de ligne à grande vitesse entre Montpellier et Perpignan, « nous sommes en train de mettre la charrue avant les boeufs et d’investir près de 350 millions d’euros dans la construction de deux gares TGV, qui pourraient s’avérer être des gares fantômes sans trafic significatif pendant de longues années« , préviennent-ils. Ils citent un rapport de la Cour des comptes d’octobre qui avait notamment épinglé un « système (ferroviaire) peu cohérent » résultat d’un « choix systématique de la grande vitesse ».

Les élus et responsables écologistes appellent en conclusion Manuel Valls à suspendre ces deux projets de gares TGV et à réexaminer le choix de la localisation de la gare proche de Montpellier. Outre MM. Cavard et Roumégas, le courrier est signé par Christian Dupraz, conseiller général EELV de l’Hérault et vice-président de Hérault Transport, Nicolas Dubourg, membre de la direction nationale d’EELV, et Manu Reynaud, ex-secrétaire régional d’EELV. »

Lire l’article complet sur le site de France 3 région.

 

Article publié sur le site Internet de 20 minutes le 21 décembre 2014

Art 20 minutes 211214

« Des élus et responsables écologistes locaux ont interpellé ce dimanche le Premier ministre Manuel Valls, à la veille de son déplacement à Montpellier, sur deux projets de gares TGV près de Nîmes et Montpellier, mettant en garde contre un «fiasco annoncé».

Manuel Valls doit signer lundi à Montpellier le contrat de plan Etat-région 2015-2020, qui porte notamment sur la financement de nouvelles infrastructures en Languedoc-Roussillon, dont la création de deux nouvelles gares TGV à Lattes, près de Montpellier, et à Manduel, près de Nîmes, sur la nouvelle ligne à grande vitesse entre les deux villes, rappellent dans leur lettre ouverte les membres d’EELV, dont les députés du Gard Christophe Cavard et de l’Hérault Jean-Louis Roumégas.

«Dérives financières»

Si la gare de Manduel sera connectée au réseau TER -et donc accessible depuis la gare centrale de Nîmes- ce n’est pas le cas de celle de Lattes, qui doit en outre être construite en zone inondable, poursuivent-ils. «Si, en tant qu’écologistes, nous défendons à vos côtés la nécessité d’investir en faveur d’une modernisation du réseau ferroviaire français, nous ne pouvons pas cautionner les dérives financières et les errements auxquels nous conduisent les promoteurs du dogme de la grande vitesse», écrivent encore les signataires du courrier.

En l’absence de ligne à grande vitesse entre Montpellier et Perpignan, « nous sommes en train de mettre la charrue avant les boeufs et d’investir près de 350 millions d’euros dans la construction de deux gares TGV, qui pourraient s’avérer être des gares fantômes sans trafic significatif pendant de longues années », préviennent-ils. Ils citent un rapport de la Cour des comptes d’octobre qui avait notamment épinglé un « système (ferroviaire) peu cohérent » résultat d’un «choix systématique de la grande vitesse».

Les élus et responsables écologistes appellent en conclusion Manuel Valls à suspendre ces deux projets de gares TGV et à réexaminer le choix de la localisation de la gare proche de Montpellier. Outre Christophe Cavard et Jean-Louis Roumégas, le courrier est signé par Christian Dupraz, conseiller général EELV de l’Hérault et vice-président de Hérault Transport, Nicolas Dubourg, membre de la direction nationale d’EELV et Manu Reynaud, ex-secrétaire régional d’EELV. »

Lire l’article complet publié sur le site de 20 minutes.

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